Quand on a connu le milieu des courses,

le small world et ses magouilles prêtent

forcément à sourire…

 

 

UBU III dans ses œuvres !

 

 

 

Triche radioactive (Iso 125), triche manucure (coup d’ongle), triche coup de peigne (se gratter les poux dans la tête) etc…

Nous sommes loin des sommes dépensées pour l’aquisition de foals, les engagements les plus prestigieux, les supplémentations, les saillies et autres reventes d’étalons, de purs-sangs ou de chevaux demi-sang ! Il est évident qu’il est difficile de comparer deux arts aussi différents : l’un se pratique soir et nuit. Le second, dès l’aube, sous la neige, la grêle, la pluie ou la canicule, en été comme en hiver !

 

Un arabe au galop en liberté.

 

 

La Marquise de Moratalla était une grande dame, tout le monde s’accorde à le reconnaître. Elle était une femme passionnée par les hommes de l’art, bien sûr, qu’ils soient entraîneurs, jockeys ou lad-jockeys. Mais aussi par les chevaux et les courses. Elle n’hésitait jamais à défier les plus grands avec sa troïka de winners, j’entends par là les steeple-chasers : Ucello II, The Fellow, Ubu III… Elle a même tenté le trio gagnant dans les plus grandes courses du monde, n’hésitant pas à débourser les 3 engagements pour ses grands champions.  Elle crée l’une des plus grandes écuries mondiale, imposant la casaque rouge (toque vert tendre), sur tous les hippodromes du monde, dépassant les élevages de l’émir de Dubaï, le cheikh Mohammed Al-Maktoum !

 

Madame la Marquise de Moratalla.

 

Madame la Marquise était toujours là pour encourager les jeunes jockeys, les féliciter aussi, à l’occasion.

 

Une casaque classique !

 

 Ucello IIThe FellowUbu III & First Gold

étaient les Mousquetaires de François Doumen.

Et la souveraine était Madame la Marquise

Soledad de Moratalla.

 

Une propriétaire accomplie.

Quand on sait que la Marquise a eu pratiquement autant de réussite dans les trois disciplines, (le trot, l’obstacle et le galop), c’est là que l’on peut reconnaître l’amour sans faille de cette dame pour la race équine. Les casaques alternaient suivant la discipline, mais les champions étaient toujours au rendez-vous. Ses cracks ont gagné des sommes colossales dans les plus grands rendez-vous. Même son alter égo, en terme de valeur d’écurie, Son Altesse l’Aga Khan, ne s’est pas frotté aux 3 disciplines. De mémoire, le seul à s’y être intéressé (avec succès) y compris en trotting, est feu Daniel Wildenstein, qui aura vu Kesaco Phedo en 2004 et Cocktail Jet en 96 (écurie de Jean Etienne (JET) Dubois gagner un Prix d’Amérique, puis  l’Elitloppet à Solvalla. Des chevaux comme Pistolet Bleu brillèrent en plat et obstacle. Entre autres, puisque l’écurie des Bleus de D. Wildenstein a gagné 4 fois l’Arc de Triomphe. Et on ne compte plus les places d’honneur !

 

 

Il est évident que tout cet argent, de même que pour la famille de Lilian Bettencourt, peut susciter envies et jalousies. C’est pourquoi une plainte a été déposée contre X, pour homicide le jeudi 30 novembre à la Police Judiciaire de Bayonne, par Monsieur Forester Labrouche après le décès de sa mère, la richissime marquise de Moratalla : voir Libération et Sud Ouest. Mediapart a repris l’info qui semble être fondée : faux, usage de faux, séquestration, abus de faiblesse… Une guerre qui continue entre le fils légitime et le fils adopté. Bref, un imbroglio juridique qui ne sera pas démêlé avant plusieurs années… Les quelques 100 à 150 Millions d’Euros peuvent fructifier tranquilles…