de son fardeau…

« Même pas de la faute à Jenny d’abord »Son fan club marche bien. Elle est aujourd’hui l’objet d’une campagne de soutien comme Dreyfus aurait souhaité avoir! Ses admirateurs sont prêts à lui pardonner cette petite « légèreté », au nom de l’aveuglement qui les rend incapables de faire marcher le petit peu de libre arbitre qui leur reste…

 

 

Betclic va bien s’en sortir. L’affaire, le cas Anelka a fait école. Le vide juridique a été comblé. Quick et Anelka ont attendu que l’affaire se dégonfle avant de prendre une décision. Souvenez-vous que le fast food Quick, avait suspendu sa campagne TV et 4 X 3 à effet immédiat.  Depuis, les divorces sont mieux préparés, genre le jour du mariage! Betclic, opérateur multi-cartes sérieux, a tout fait dans les règles. Les contrats de sponsoring sont bien montés juridiquement, ce qui ne donne plus lieu à de sempiternels renvois devant les tribunaux de commerce, puis TGI pour en finir immanquablement devant les conseils de prudhommes, lesquels se déclarait in fine incompétents. Rappelons que dans ce type de partenariat, le sponsor c’est à dire l’annonceur, peut considérer que tout évènement, avérés ou non, mais altérant ou mettant en danger la communication du groupe concerné autour du sportif sponsorisé, est suffisant pour mettre fin aux relations commerciales engagées entre les deux parties. Il est donc logique, après les aveux spontanés des épouses ou compagnes des sportifs,  que Betclic stoppe, au moins temporairement, toutes campagnes de pub engagées ou à venir fondées sur une image ternie. Qu’en est-il des autres sponsors? Ce n’est pas bien sûr,  l’objet de Table rase.fr, qui ne relaye l’info que parce que Betclic est concerné…

QUESTION A 1 000 000 d’€UROS : que passe t-il dans la tête des gens pour qu’après avoir signé 7 contrats de sponsoring pour 1 millions d’euros, ils risquent de tout perdre pour un gain médiocre et aléatoire?

QUESTION subsidiaire : comment passer de la peau de héros, adulé de tous les jeunes, à celle d’un tricheur sans vergogne?

Brigitte Bardot, dans « une ravissante idiote ». Roman Charles Exbrayat.

J’avoue ne pas trouver de réponses raisonnables. Ou trop simples. Et le coup de Jeny comme « ravissante idiote »,

je n’y crois pas… Du tout.