Vous connaissez le vieil adage : pour vivre heureux, vivons cachés!

C’est un peu le leitmotiv de Betclic et Everest, les 2 poker-rooms qui rejoignent le giron de Playteck. Des intérêt communs, des actifs croisés, un soutien cordial et sans faille…Quoi de plus normal qu’un coeur croisé chez …Playtech? Ok, elle était facile, je l’admets, mais ne soyez pas trop sévère! j’avoue tout. Le jeu de mots facile, la pub surannée, le modèle désuet, mais à ma décharge, je ne rajoute ni gros mots ni …enfin, passons. Rappelons qu’ensemble, au sein de Playtech, ils vont continuer d’exploiter le réseau IPoker. Ces derniers, toujours alimentés par la plate-forme Playtech, qui fut très souvent à la pointe en terme de jeux de hasard et de poker en ligne. Ils offrent une multitude  d’options, un achalandage remis régulièrement au goût du jour.

Une chose à noter, toujours vraie à ce jour, c’est que le fond de clientèle est sans doute un peu plus faible que les autres grosses rooms utilisant par habitude ou par goût d’autres supports ou réseaux. Par conséquent, les utilisateurs de IPoker (comme Betclic ou Everest) sont les hôtes de partie CG plus juteuses ou de MTT de niveau un peu moins fort que les « grands du marché ». Quand nous considérons qu’ils offrent les mêmes satellites pour les WSOP par exemple, ces poker-rooms constituent d’excellents tremplins pour les bons gestionnaires de bankroll.

Autre but évident, c’est d’offrir à leur clientèle un réaménagement des sites en termes de praticité et design. En offrant notamment aux joueurs un nouveau logiciel plus performant s’entend mais aussi plus attractif.

Enfin, il y a toujours un voeu pieux, non avoué ou seulement à demi-évoqué, ce sont les économies d’échelles réalisées grâce aux fusions des sociétés. En terme de matériel, de locaux et bien entendu, le facteur humain finira par être à l’ordre du jour!