A suivre, les valets du poker…

 

On entend souvent parler

des « femmes du poker » !

Je trouve péjoratif que certains

en parlent ainsi.

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Pourquoi pas les meufs (en) carton ?

 

 

Nous préférons largement les Dames ou les Reines du poker.

De même que certains ont fait croire à des jeunes filles ou des jeunes femmes sans expérience ou presque, qu’elles étaient devenues PRO… Pro pour professionnelles ! Au nom de qui, de quoi ? Certains critiquent untel ou untel parce qu’il donne des leçons de poker à 50 ou 70 € de l’heure, sans avoir le moindre diplôme. Ceux-ci en retour, créent de toutes pièces des teamsLadies pro, sans avoir la moindre expérience de la  pédagogie ou de l’enseignement, qu’il soit de poker ou en termes de mathématiques, (statistiques-tirages par exemple). Hé bien, c’est la même chose. 😉

 

Les news-coachs déplaisent parfois aux anciens… Qui finissent par rater le coche !

 

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Jennifer Harman, High Stakes & High Roller

Il y a eu de beaux démarrages en France. Il y a eu de très beaux parcours en matière de poker féminin Français. Et puis il y a en dehors de l’hexagone, des réussites professionnelles brillantes. Jennifer Harman (2,8 M$), Vanessa Selbst ou Rousso (12 M$ et 3,5 M$), Annette Obrestadt (4 M$)… Liste non exhaustive.

Quand on voit les 12 M$ de gains de V. Selbst et les bracelets collectés, certains joueurs Français qui se mettent sans cesse en avant avec beaucoup moins de gains, bracelets et élégance nous font rire. Ces bouffons sont là pour cela désormais. Chacun son utilité…

 

Vanessa Rousso, Star-Poker Sy-Reine du poker

 

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DSO Unibet Divonne. Hélène Favier win

Les joueuses récréatives. Il n’est pas utile ou plutôt il est totalement inutile de parler des joueuses qui se sont crues professionnelles car elles ont été sponsorisées un temps par des rooms ignorantes en matière de poker. En revanche, il existe beaucoup de joueuses récréatives, qui ont du talent ! Joueuses assidues en Club, en petits tournois sérieux et réguliers (APO séries) ou qui tentent des gros défis. Je ne vais pas en citer 10. Je me contenterai d’en citer une. Régulière, sérieuse, ayant un métier…
J’ai nommé Hellene (De Troie) Favier ! Laquelle, en 3 ans et demi, aura engrangé bientôt les 80 K€. Sans room, sans sponso, sans aide d’aucune sorte si ce n’est les rencontres amicales du poker.
NB. Lors de l’un de ses séjours chez MG2 au GCM, elle a même pris le temps de marier, grâce à la célérité d’un taxi driver émérite. Félicitations !

 

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Les dévoreuses de tournois. Les High playeuses 😉  Ces femmes qui se permettent de jouer à armes égales contre Phil Ivey, Gus Hansen ou Patrik Antonius… Elles n’ont pas froid aux yeux. Et elles jouent aussi les Main Events en tant que high player (Joueuses de très haut niveau). En 2006, Annette termine 7 ème du Main Event de PokerStars au buy-in de 2 500 $, et remporte 163 150 $. En , alors âgée de 18 ans, elle remporte le Main Event des WSOPE à Londres, et la somme de 2 013 733 $. Un mois et demi plus tard, elle finit 2 ème de l’EPT 4 de Dublin, et empoche 416 920 $.

Sur internet, les gains d’Annette en tournoi dépassent 2,4 Millions de dollars. Sur le circuit de poker live, elle cumule plus de 3,9 millions de dollars de gains. Comme quoi le Net et le Live sont compatibles. Il suffit de mettre ses neurones (s’il nous en reste) au diapason 😉