Le Grand Colbert

disait au Roi :

« Pour trouver de l’argent,

il arrive un moment où

tripoter dans les caisses

du Royaume ne suffit plus

Majesté… »

 

 

Le Big’Flambeur, 

lui, soliloque :

Pour trouver de l’artiche*

il y a un moment

tripatouiller les caisses

de Marrakech ne suffit

plus non plus !

 

* Artiche : « Pognon ou fric en argot ».

 

Un truc qu’on devrait savoir à 66 ans, 

(car ça s’apprend quand on est matelot),

c’est qu’en Bretagne comme à Marseille :

On ne pisse ou ne crache

jamais contre le vent !

 

            Big a craché sur les Clubs de Paris, les casinos de Marrakech N°1, de Marrakech N°2, de Mazagan, de Rozvadov, de Malte, du Var, de Namur, sur les WSOP, Winamax, Bruel, Barrière, j’en passe et de bien meilleur(e)s. Et pendant qu’on y est, Loïc Xans, dans le Carré, Table rase, tous les périodiques poker, Will Payen, Alex Dreyfus, Janluk, bientôt les Belges de Wallonie et plus précisément les Namurois, Guyon Adrien, les Praguois et tant d’autres… L’effet pervers est toujours le même. Big n’a rien appris voulu comprendre ou apprendre de ses erreurs en 20 ans de poker. VILAIN CACOU** !

Car Big est Big. Et Big restera. Ad mortem  festinamus

** VILAIN CACOU : « Sale gosse sûr de lui qui joue les fanfarons ».

            Il fait partie, tout comme moi, de ceux qui ont eu le talent de vieillir sans jamais être adulte ! (Jacques Brel)

Sacré Big-trousse-pète***, va !

 

Sale Gosse : Attention à vos mobiles !

 

 

*** Trousse-pète :  braillard  (péjoratif)chiard  (argotique)chiffon  (argotique),  crapaud,  marmot  (affectueux, familier), marmouset  (péjoratif, argotique ou populaire), merdeux  (familier), minot  (populaire), mioche  (familier), miston  (argotique),  momichon  (argotique), momignard, morbac , morpion  (argotique), morveux  (familier), loupiot  (argotique), Gnare,  babouin

 

 

Il continue de cracher et pisser contre le vent.

Résultat, ça finit toujours par mouiller

ses limaces**** et ses babouches.

 

 **** Limace : « chemise en argot ».

NEW SCOOP !

Après avoir tant craché sur les pompes de Bruel,

v’la-t-y pas que notre Big’Girouette-

-apatride-internationale,

se met à les faire briller en frottant, frottant !

 

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On ne reconnait pas bien le Big avec sa bâche !

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BIG’GIROUETTE : Recruteur autoproclamé pour Winamax 😉

Ben oui, avec 20 followers qui n’attendent que des entrées gratuites, l’échec est déjà si cuisant que même le chanteur-acteur bien connu, qui fut la cible N°1 du Big-flambeur par personnes interposées, n’en revient pas de la rapidité de sa déchéance. Et de son manque d’amour propre. Bruel n’en demandait pas tant. Il reste ébaubi de sa victoire par KO, (et sans mettre les gants), du Big’Boxeur qui s’est couché sur son paillasson, avant même le « Time » ou la cloche !

Je vois d’ici Big’dealer organiser bientôt à Katmandu ou au Tibet, un BNP (Big Népal Pokertour) avec le Dalai Lama comme Bounty. Les lamaseries seront leurs Clubs privés ! Les pourboires iront à la réfection des pagodes. Big tentera même de convertir Bruel au Bouddhisme ! Bruel ? Peine perdue quand on sait le rapport existant entre son investissement chez Winamax (5% pour 0 €)  et le bénéfice (je ne précise pas) par centaines de milliers d’euros qu’il est en passe de récolter à la revente. Bruel, homme d’affaires très avisé, sait que ses 5% aujourd’hui valent x ou y Millions d’€. Demain, avec l’image du Big qui déteint peu à peu sur W, à force de commentaires FB, insipidement nuls et non avenus, ses 5% ne vaudront plus tripette ! Quel nez Patriiick !

Itinéraire : Demain, Big’Girouette vantera les mérites du poker online global, du Tibet à la Mongolie extérieure, et de Winamax en particulier ! (Génial le cœur de cible). Tout cela à dos de lamas ! OMG, quand je pense au travail qu’on avait abattu en deux ans ! So sad…

Doyle Brunson, sors de ta sieste, le Big-trousse-pète est devenu fou !

 

Ouf ! me disaient hier encore 3 jeunes de 18 à 22 ans : On ne connait pas ce genre de personnes qui arrivent à avoir gagné « 5 M€ » uniquement parce qu’ils ont dépensé 3 M€ en Buy In, et presque autant en bakchiches, avions, hôtels etc… Résultat ? Une course effrénée vers le vide, le néant. Et cette question lancinante : Le néant souffre-t-il ?

Plus que tout, si je puis me permettre d’employer cet oxymore : « On ne se souviendra demain que d’une chose ; Celle de l’avoir totalement oublié ! »