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D’après le roman : « Et Pok & Pique »
Résumé. Différents soliloques, articles et courriels afférents au tracker, (espèce de machine infernale) appelée par les uns « machine à moins perdre » ou par les autres trichotteuse informatique. Tout part d’un misunderstanding, alimenté par une relance (au sizing inapproprié) de manuB_. Elle-même, relayée par Canal+ News poker, en panne d’idées ou de budget pour décrocher une ITW de qualité à la mi-août, afin d’en finir avec ce fait divers. Qui restera un nano-détail dans les annales de l’évolution du poker au XXI° siècle. A noter que ce « roman » d’été ne sera ni la saga, ni le best-seller escompté. Il n’y aura pas de saison 2, malgré les efforts de PokerActu.fr et quelques autres.
ManuB appelle au boycott du titre
GQ annonce la sortie d’un numéro spécial « avenir et enquête sur le poker en ligne » pour septembre.
Résultat inversé à prévoir : le mensuel va doubler ses ventes. Et même si sa cote d’amour descend d’un dixième de point, sa notoriété va monter en flèche… Advance Magazine Publishers nouveau sponsor de Manub_ ?

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L’action se déroule :
sur la toile et de nos jours…

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Festival du mois d’août

loup-vacnitien-en-plumes

Casting

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manuB_ : Manuel Bévand, joueur pro de la Team Winamax.

Canal+ : groupe multi-media assurant la promo des guignols…

GQ : le magazine qui parle aux hommes sur un autre ton…

Brduke : critique d’art poker & spectatorat pur…

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et autres figurants…

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P K  E   ?

théatre

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15 août,
Les gagnants sont au soleil.
Les autres restent à leur écran ! Total.
Donc on est presque tous là !
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Le pauvre mensuel GQ, Groupe Condé Nast, n’aurait jamais pénétré les toilettes des joueurs de poker si Manuel Bévand n’avait pas montré l’exemple. Ou fait sa promo (bien involontairement) en le citant sur son mur FB. De même que ce support mode et sexe au masculin serait à jamais resté dans l’ombre de Vogue, si un publicitaire doté d’un sens aiguë de la formule, ne lui avait trouvé l’accroche suivante : « GQ, le magazine qui parle aux hommes sur un autre ton »… Sans doute est-ce le côté thon qui a autant plu (en son temps) à manuB_ ? Toujours est-il que ce dernier menace de retirer sa clientèle au magazine, si… etc… Ayant le sens pratique, Manu laisse entendre que cette revue qui l’inspirait, a toujours eu sa place au lieu d’aisance, mais que l’usage qu’il en fera désormais, sera… mieux ciblé (♣)

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travelling

Travelling arrière sur Sir Lawrence

Tavelling arrière. Tout est parti de 2 FAR, 2 Fucking Actions feedback. (traduction littérale approximative parigote : « 2 putains de retour dans la tronche ») L’interprétation d’un journaliste et la réponse de manuB_. Ce dernier a la tête près du bonnet et le premier devra le porter (version âne) ! En tant que client fidèle de GQ, MB s’insurge de la façon dont son magazine a traité le sujet archi connu des trackers, (16.478 clients sur 61 258 947 habitants dans l’hexagone, lol) dans le monde des profanes en la matière. En fait, la marginalité du poker rend les sujets pseudo techniques plus difficiles à interpréter pour un journaliste généraliste ou spé en mode masculine. Personne n’en voudra donc à ManuB_ d’avoir pensé que GQ puisse être devenu un « torchon », attendu que nous nous sommes aperçus que : des joueurs aux blogs, des blogs aux sites et des sites aux journaux et revues dites spécialisées, chacun dans ce petit monde merveilleux du poker, traite autrui de torchon sale, s’il a l’heur de lui déplaire. Tous est bon dans le cochon ! de torche balle à torche cul, en passant par toutes les fantaisies scatologiques ou vomitives, suivant l’humeur de celles ou ceux qui insultent ! Il y a des spécialistes.

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Bon, rapidement il faut dire que Manu n’a pas tort. Ce journaliste de GQ semble être plus habitué à retoucher les falzars de Francesco Smalto (Groupe d’Alain Duménil)  que d’envoyer ses sacoches dans la tronche de Phil Hellmuth !

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manu_bevandOK, Manu a raison de dire que GQ a tort. Point final. Peu importe la manière, peu importe les résultats de son appel à la résistance (de Londres), là où il semble être domicilié, peu importe tout. Sauf : première salve de Manuel sur FB : 250 likes. Seconde salve, normalement destinée à parachever la démolition de GQ : 50 likes. Pfff, la baudruche est dégonflée.

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Rapidement aussi, mais bien plus grave en ce mois d’août à Paris (Mort de lol).

GQ écrit : « les dés sont pipés on-line » Pas de réaction de manuB_.

GQ écrit : « L’ISPT a été managé côté français par Bernard Tapie et le Groupe Partouche » Aucune réaction de manuB_

GQ sous-entend que Winamax serait la « mère maquerelle du dieu hasard en France ». manuB_ reste coi.

GQ passe au mixeur un savant mélange de réalisme (démêlés judiciaires de Partouche), de rêve (publicité quasi mensongère de Winamax) et de chiffres (rapports tronqués de l’ARJEL). Ouahhh quel cocktail ! Pas grave, moi je veux bien tremper mes lèvres, mais quid de manub_ qui aurait du sauter au plafond et défendre son métier et son employeur ? Non, tout cela est passé à… l’as ! Seul le tracker retient son attention. Étonnant, non ? manuB_ multicartes ?

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fuckTout le monde parle de la « boulette » du journaliste, pas du fond de l’article. Amusant de constater que si le mot tracker avait été remplacé par le mot hacker, personne n’aurait relevé cet article, redondant avec nombre de papiers parus en presse quotidienne, hebdo ou mensuelle. Perso, comme on dit, je ne comprends pas la vindicte de Manuel Bévand. Ni le sens réel de l’article GQ, relayé par PokerActu, qui tente de brosser une caricature physique très « cash and carry » de Philippe Ktorza, sans parvenir à être vraiment ni méchant, ni gentil, ni drôle ! Ce dernier parle des trackers en disant ; « Ils anesthésient la dimension « frisson » qu’il y a à tenter un coup sur une intuition. Autant jouer à la bataille ! ». PK tente par là d’amener le poker plaisir à son niveau le plus sensuel, délivrant des flux d’adrénaline qui amènent les joueurs au paroxysme de leur  plaisir… La métaphore est bien trouvée, le discours est sensé, c’est le point de vue de bon nombre de joueurs en live, et c’est une vérité. La sienne. Il se trouve que c’est aussi la nôtre. Ensuite, GQ parle d’un certain Momo, qui aurait dit sur un forum poker (on veut bien le croire) : « J’ai échappé à l’usine grâce au jeu en ligne, en gagnant de la thunes et en me levant à midi.. » Un pur produit PS and Winamax, the Momo ! Le rapport entre le cigare de Philippe et les grasses matinées du gamin ? Aucun ! Ok, merci GQ.

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écoleRobert Doisneau 1912-1994 : les doigts dans l’encre.

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Canal+ a invité un ancien directeur d’école à donner son avis sur GQ ! Un 16 août… Ce monsieur aurait mieux fait de s’en tenir à la définition qu’il a citée au début : « Ils (les trackers) sont donc un outil d’aide à la décision… ». Au lieu de cela, il est parti en voltige sur la théorie du non-complot et répète à tout va : « ils sont la seule possibilité de démontrer que le poker en ligne n’est pas truqué… ». Après il va vous dire, « je parlais des rooms » ! Halte là, le jeu on line, il est truqué ou non ? On peut voir les cartes privatives ou non ? Qui a ces foutus codes d’accès ? Là est le débat. Que ce soit Pierre Paul ou jacques qui triche, on s’en moque. On parle de sécurité en général. Pas pour votre famille en particulier… Ce monsieur doit faire partie de ces joueurs qui insinuent que la NSA est capable de vous regarder pisser sur la clôture du voisin voire de lire un SMS envoyé à votre maîtresse il y a 5 ans, mais que personne ne peut pénétrer les fire walls de PS ou Win… lol ! Les théoriciens du non-complot banalisent un fait avéré de longue date. Même par les mal voyants !

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brduk

Critique en Art Poker. Ecrivain. Général ** cadre de réserve.

Brduke, brillant général confédéré (CR**) remet l’ex directeur sur le vélo en suggérant de manière impérieuse que le tracker pourrait n’avoir d’utilité impérative, que si nous jouions (hypothèse) au poker on line de manière exclusive. Et de poser la question : « pourquoi les joueurs équipés, ne gagnent-ils pas tout le temps ? » Le Gal Duke a trouvé, comme tous les joueurs intuitifs et habitués aux TF, la parade, (le radar anti radar) à cette machine infernale : varier son jeu. Excellente méthode, Bruno, mais « chassez le naturel, il revient toujours au galop »… 😉

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Quant à parler des boulettes des uns et des autres, on n’aurait pas fini. Moi le premier, je revendique. Allez, je me laisse aller, je vous copie colle cet extrait d’article de l’un de mes « confrères », un blog-site poker. Là, c’est pire encore. Le jeune « journaliste » confond les mots et les auxiliaires être et avoir. Va donc comprendre après ça, le sens de l’article ? Je copie : remplacer les mots en gras par « les instigateurs » et par « ait eu » et cela va mieux ! Enfin… presque !

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« En tant que journalistes spécialisés, nous nous demandons si finalement nous n’aurions pas été à l’instar de ce phénomène, en mettant trop en avant les résultats de nos « héros », les étalant en vitrine comme un morceau de viande à la disposition des cannibales de Bercy. Sans surmédiatisation, le phénomène aurait-il été différent ou identique ? Peut-on envisager que la presse spécialisée est eu un effet accélérateur dans cette histoire de « chasse aux sorcières » ? »

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gqCasino Royale…

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Si jeune, il fait déjà son mea culpa. A noter que ce jeune homme a 2 spécialités : le journalisme ET le poker. Malgré cela, il fait encore des petites fautes… de frappe ! Donc comment en vouloir à ce journaliste de mode de GQ (qui va revoir sa copie pour septembre, mais qui ne pliera certainement devant le bluff catcheur de manuB_) lequel a confondu 2 thèmes n’ayant rien à voir. La sécurité on line et la mémoire artificielle des multi-tableurs. Il ne devrait pas refaire la même erreur ! Nous l’attendons bien sûr au tournant en septembre…

 

Bien, je pars en Bretagne ! Kenavo !

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Plage-bretonne