PUBLI REDACTIONNEL

 

liberty.

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L  I  B E  R  T  Y     B E L L

Elle ressemblait d’avantage à une caisse enregistreuse des années 60, qu’à un bandit manchot du XIX°. La Liberty Bell, première machine à sous, porte le nom de son inventeur entre les 2 cloches  : Charles A. Fey. Les « Slots machines » en anglais (ou bandits manchots) portent bien leur nom. C’est à San Francisco qu’elles ont vu le jour, il y a plus d’un siècle, en 1898. La Liberty Bell a connu un énorme succès qui a révolutionné les salons de jeux de l’époque. D’une part, parce qu’elle était beaucoup plus petite que ses consœurs en bois.  D’autre part, parce qu’elle possédait un marquage sur la périphérie des 3 rouleaux et non plus à l’intérieur. Alors que les machines à « roulettes », n’offraient qu’une centaine de combinaisons, la Liberty offre désormais 10 arrêts par rouleau. Cela signifiait 1000 combinaisons possibles au lieu de 100.

 

« Après l’invention révolutionnaire de Charles Fey, la popularité des machines à sous fit de nombreux jaloux dans l’industrie des casinotiers en herbe. Un fabriquant de machines diverses (du nom de Mills) commercialisa une slot machine, copie quasi conforme à celle de Charles Fey. Bien d’autres fabricants suivirent le mouvement et copièrent la Liberty Bell. »

 

777Le rêve de beaucoup de joueurs…

 

Le développement du marché des machines à sous, généra d’une part leur industrialisation et d’autre part, très rapidement des Lois anti-jeux. Celles-ci furent votées à la fois pour protéger le public de la « diabolisation » engendrée par ces machines (pervertissant les bons américains de leurs religions respectives). Mais aussi pour protéger les joueurs d’un nouvel engouement jugé par trop… inégal, voire malhonnête. Ces bandits manchots auraient bien pu voir leur carrière définitivement stoppée, si le fameux Mills n’avait eu cette « géniale idée » promotionnelle, d’adjoindre à ses machines à sous, des distributeurs de bonbons. Le marketing direct et la promotion virent le jour, ajoutant en sus des PLV annonciatrices du XX° siècle… Les machines à sous  devinrent des distributeur de confiseries.
quetschePour faire bonne mesure,  Mills  remplaça les symboles existants par des fruits : citrons, cerises etc.. aux lieux et places des as rouge ou noirs. Les symboles aussi sont ludiques et assimilés aux goûts des bonbons. Beaucoup de sucré dans des bouches parfois amères, mais toujours une salade de fruits dans les yeux et les mémoires. Ainsi, les joueurs auront le droit de continuer à jouer.
double pruneA noter. Les 2 lorrains, joueurs très connus sous ce sobriquet entre les deux guerres, (surtout dans le Protectorat français dans l’Empire chérifien), avaient beaucoup insisté à l’époque, pour avoir des rangées de Mirabelles de Nancy, espérant obtenir ainsi la renommée de leur marque déposée et favoriser leurs exportations. Ils n’obtiendront que des quetsches, plus colorées et de formes plus ludiques que la mirabelle. Ils revendirent alors leur exploitation fruitière à André Maginot, qui avait dans les « grandes lignes », une idée derrière la tête. Les 2 lorrains participèrent alors dès 1946, au démarrage de la société EDF, ce qui leur permit d’assouvir leur passion du jeu, notamment le poker. [A noter que pour les fruits doubles, dont la gémellité était aussi rare pour les prunes d’espèce « Raph-quins » que chez les êtres humains, l’idée de Jackpot fut vite abandonnée].
queue-de-cerise-60-gelulesLe principe du jeu restera donc  à peu près le même, mais lorsque le joueur met sa pièce dans la machine, c’est un acte volontaire d’achat de bonbons. Ensuite seulement, si la combinaison des rouleaux est gagnante quand l’acheteur tire le manche,  alors le joueur remporte boissons ou autres friandises, échangeables comme dans les bars parisiens des années 90 contre de l’argent, derrière le comptoir ! A noter que James Pons, joueur célèbre de « Casino Royale » a souvent échangé ses bonbons contre un bon couscous. Longue vie aux machines à sous ! Il est évident que les casinos en ligne, ne sont pas tous gérés avec la même rigueur. Parmi les plus sérieux, FeedBACK Casino semble faire l’unanimité. Au contraire d’autres groupes, que le blogueur que je suis, ne citerai pas !

 

symboles

 

 

GSMIl faudra attendre l’arrivée de Georges Santa Maria, (mon oncle par alliance), fondateur du groupe familial Bally France, entre autres choses en Espagne, pour que démarre une ère nouvelle de machines à sous. Celles-ci ont su évoluer un siècle et demi avec le succès qu’on leur connait ! Leur facilité d’utilisation, leur aspect ludique, en fait font le jeu le plus populaire des casino en dur et aujourd’hui, dans beaucoup de pays, on line. Leur design très attrayant avec leurs rouleaux clignotants multicolores et surtout leur fameux bruit métallique de pièces qui tombent dans l’escarcelle des joueurs, attirent ceux-ci comme un aimant, dans tous les casinos du monde. Les machines à sous sont de plus en plus jouées dans les casinos en ligne où elles sont devenues très populaires depuis quelques années, grâce à l ‘explosion du Net dans le monde entier. Leur adaptation aux dernières technologies et nouveautés en terme de sécurités liées à Internet (et surtout leur mise en conformité avec les Lois s’appliquant à chaque pays proposant ces jeux), ont fini par rassembler en toute confiance, un large public. Des effets sonores et graphiques sans précédent, des thèmes ludiques, une multitude d’options de jeux parviennent à s’adapter à chaque style de joueur on line.
Ces casinos en ligne offrent un choix de machines à sous progressives ou encore classiques.  Les jackpots sont devenus vraiment énormes, très impressionnants. Ces casinos en ligne proposent désormais aujourd’hui tous les jeux traditionnels, y compris le poker… mais le jeu roi reste la machine à sous, qui reste d’ailleurs, le symbole de nombreux  casinos… Bonne chance !