En couverture, la Madeleine de Fabius… « cédée » aux USA…

De pères en fils… et de fil en aiguilles !

Marcel, André, Isidore ou Jean

n’y sont pour rien !

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Marcel Dassault : Grand Croix dans l’Ordre National de la Légion d’Honneur

Serge Dassault : Grand Officier dans l’Ordre National de la Légion d’Honneur

Laurent Fabius : Grand Croix dans l’Ordre National du Mérite

Certaines décorations semblent avoir

plus de valeur que d’autres.

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Chacun sa croix…

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« Le -système Dassault- n’a pu perdurer que parce que le milliardaire est intouchable. Connexions au plus haut sommet de l’État, importante force de frappe médiatique, puissance financière : en Essonne, le sénateur UMP a tissé sa toile, à droite comme à gauche. » (extrait de Médiapart).

Première fortune de France en 1985, Marcel Bloch (dit Dassault) meurt en 1986 et laisse les rênes à son fils Serge, qui est à ce jour 5° au rang des plus riches familles françaises. Cela relègue donc Laurent et Thomas, les héritiers de l’antiquaire André Fabius, au rang des bobos, les fameux bourges-bohèmes. Nantis certes, mais… c’est tout. Quant aux Tapie et Partouche,  on ne pourra les classer qu’une fois leurs démêlés avec la justice terminés. Mais loin derrière le Groupe Dassault pour l’un, très très loin pour le second. Médiapart n’hésite pas à suggérer que cette famille (Dassault), est au dessus des Lois. Intouchable ? Nul n’est au dessus des Lois. J’aime à le croire.

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Rien à voir avec le poker et les jeux d’argent diront certains ? Ben voyons. On ne peut tout de même pas parler de « dynastie, de « mafia » ou de saga familiale » sans évoquer quelques noms. Connus de préférence. Certains seront sans doute flattés, d’autres vexés d’être mis côte à côte. Quoiqu’il en soit, d’une certaine manière, les noms de Tapie, Partouche ou Fabius ont des relents de fish-story. Certains plus que d’autres. Attention, toutes ces familles avaient une réputation sans tâche au XIX° voire début XX°. Quoique, Médiapart n’était pas encore né… Je rigole, ce que je veux dire, c’est qu’a priori, dans toutes les lignées, il y a des bâtards, dans toutes les portées, il y a des fausses notes, dans toutes les familles, il y a des voyous. Ah, chez vous aussi ? Rassurez-vous, c’est pareil chez nous, chez moi.

C‘est vrai, on s’éloigne un peu du poker pur. Normal ! Le poker se meurt. On passe en quelques 6 mois ou 1 an de 1 million et demi de joueurs (fichés) à 300 000 grand maximum. Dans ce petit monde, il y avait 150 blogs, 40 sites, 10 revues 32 rooms… Il doit rester 20 supports lus en tout. Quand je dis lus, j’entends par des lecteurs réguliers et non par des familiers. Certains, moribonds, réagissent toujours en disant : « Il ne faut pas parler des scandales, cela nuit au poker… » Ben voyons les autruches ! La grande vague est passée, que vous reste-t-il à faire ? Commenter vos tournois d’anniversaire à 25 joueurs ou annoncer les 10 gagnants du tournoi de Macao ? Que personne ne connait ? Non merci. Certains blogs ont de la constance, je l’avoue, à faire de « l’info-poker » en ressassant (toujours 2 jours après) les news de Végas ! Je dénomme ces gens les regrattiers* du poker. Ceux qui passent au micro ondes puis resservent des infos déjà froides. D’autres encore, se reconvertissent en GO, pourquoi pas ? Quant aux derniers, ils disparaissent et disparaitront sans laisser de traces…

* Regrattier. Les brasseries Flo et Julien, étaient les plus célèbres regrattier du XIX° ; c’est à dire des brasseries qui ré-accommodaient les restes en sauce et les resservaient à vil prix aux clients affamés. Bien avant que JP Bucher †  ne leur donne leur fantastique essor. Par extension, un regrattier de l’info, c’est pour moi un faux journaliste qui ré-accommode les informations à sa sauce. Sauce béni oui-oui pour ne prendre aucun risque. Jamais position.

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 TAPIE, PARTOUCHE, FABIUS ou DASSAULT,

Intrinsèquement, on s’en fout. Ils sont tous contaminés !

La triche, la corruption, le pouvoir, le sang…

Droite et gauche.

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Les dérapages des uns et des autres ne me choquent pas vraiment.

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Tout est relatif. Seule la relativité engendrée par le vécu de chacun permet d’avoir le recul nécessaire. Ou de sortir de ses gongs. Ils ne sont ni des Staline ni des Gengis Khan... Je considère donc tout cela comme des nano faits divers dans un microcosme inexistant aux yeux de l’Histoire. Couverts par ce que l’on dénomme le droit commun au XXI° siècle. Si Table Rase a toujours rebondi sur ce genre de faits, ce n’est pas pour buzzzzer dans la ruche-bonzaï du poker, mais pour mettre en avant les conséquences supportées par nous tous, les joueurs, à cause de ces pauvres petites magouilles guidées par le profit. Parfois aussi, pour les dénoncer en les annonçant lorsque nous constatons que d’aucuns auraient tendance à préférer cacher, oublier, passer sous silence, effleurer, édulcorer, transformer, camoufler, faire disparaitre… Ces faits ne doivent jamais demeurer camouflés. Jamais. Mais ces faits ne doivent pas non plus entacher la réputation et l’honneur des ascendants ou futurs héritiers des sus-nommés. En revanche, du plus grand journaliste au plus humble blogueur, ne pas évoquer tous les faits, c’est les couvrir. Les couvrir, serait les cautionner.

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Alors pourquoi évoquer ces 4 familles…

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1. Pour railler gentiment les « colleurs d’affiches »…

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Ceci n’est qu’un exemple entre mille. Droite, gauche et centre unis dans la même imbécillité. Quand je lis sur les murs « d’amis FB du poker » des âneries partisanes du genre (voir capture ci-dessus)… mais quelle image croient-ils renvoyer vers les gens qu’ils fréquentent ? Comment peuvent-ils croire un seul instant que cela fera avancer leur cause d’un iota, les prochains scrutins d’une seule voix ? Comment ces gens, qui réfléchissent apparemment par eux-mêmes, peuvent-ils dispenser des « informations » commentées de façon aussi puérile ? Leurs murs FB sont comme des mobiliers urbains JCDecaux. A peine collés, les messages sont recouverts de Tags, d’une grosse blague ou d’un freeroll à venir ! Et surtout, Serge Dassault n’a rien à voir avec le jeu ou le poker. Pour être crédible, il leur faudrait partager les scandales de tous les bord. Mais là, afficher Dassault et occulter en ce moment, Fabius et Cahuzac, c’est du niveau tout petit militant-colleur d’affiches, non ?

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 2.  Filtrer l’opprobre ou l’eau du bain ?

C’est pourquoi, encore une fois, il ne devrait pas y avoir dans le poker, de référence en terme de confession ou de politique… L’antique standard gauche-droite étant de plus, tombé depuis des décennies en désuétude, j’ai presque honte pour ces hommes qui distillent mesquinement ces scandales sur leurs murs FB, laissant croire (à qui?) que ceux-ci ne sont l’apanage que d’une seule caste politique. Ce sont les personnes physiques qui commettent ces fautes qu’il faut condamner, plutôt que de bannir les choix qu’ils ont faits par ailleurs. Le parti auquel ils ont adhéré, le syndicat qui les représente, la marque de voiture qu’ils conduisent ou encore la religion qu’ils pratiquent. Ce n’est pas de l’info, c’est de la propagande stérile. Ne mettre sur un mur que les scandales de gauche ou de droite me rappelle étrangement les procédés des 2 sinistres Joseph. Pour la première fois, le monde entier (via les réseaux sociaux) a un accès libre, gratuit et public à « l’information » reçue et restituée ou redistribuée par nous mêmes. Amusant de constater que ceux qui se disent être les plus grands socio libéro démocratico and co, sont les premiers à pervertir cette immense avancée technologique et sociale, que sont les réseaux sociaux, en copiant leurs ainés de la pire façon qui soit :

en distillant de « l’information » dirigée.

Rappel. Ad usum delphini. Expression latine, signifiant, à l’usage du dauphin (de France). Certains passages ont donc été édulcorés, expurgés, car jugés trop crus pour qu’ils puissent être lus par de jeunes lecteurs.

Mais ne mettre en avant que des morceaux choisis… c’est de la propagande, façon début XX°…

Monsieur Marcel Dassault.

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3. Car c’est très difficile d’être le fils ou le père de…

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Le jeune Fabius « parait » être dans la tourmente, soit ! Ce n’est pas le premier qui perd au jeu. Et il n’est pas le dernier à qui les Princes (Rocher ou désert ?) effaceront une dette. Est-ce une raison (sans prétérition aucune) pour reparler de son père et du sang contaminé ? Non. De la Madeleine au miroir ? Certainement pas. En revanche les pseudo-journalistes d’info-poker qui se gaussent des distributions d’argent de S. Dassault, feraient montre d’une plus grande honnêteté intellectuelle en affichant sur leurs murs FB la totalité des scandales politico financiers du jour. Si tant est que les arcanes de la politique les tentent. Comme le balançait vertement Monsieur Patrick Partouche à l’un de ces regrattiers* le 24 décembre 2013 :« Je n’ai pas pour habitude de commenter les rumeurs, mais vu que c’est votre fond de commerce… je veux bien faire une exception ! » Ouahhh, je n’aurais pas aimé ! Bref, la conjoncture économique et les soupçons pesant sur le Groupe Partouche et la personne qui le représente, ne doivent en aucun cas rejaillir sur le fondateur du groupe en question. De même que Laurent Tapie n’a pas le même parcours que Bernard etc… Il ne faut pas confondre les faits commis par les uns avec le nom de famille des autres. Le gamin de l’ex premier ministre a la belle vie ? Et alors ! L’un des torts qu’il a, c’est de se faire prendre en photo débrayé, avec un cigare à 50 € au bec ! Moi cela ne me gêne pas. Je pense que sa famille, si ! Sa dette de jeu ? Pour l’instant, la SBM nie. Et comme « La SBM n’est par le Groupe Partouche. C’est le seul commentaire que je ferai… » 

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Alors, quelques billets jaunes en Essonne, les aventures de Peter Pan revus et corrigés par PP, 700 000 € de dette supposée pour le jeune amateur de jeux et cigares, 270 M€ de « don du contribuable » pour Tapie… Autant d’affaires non résolues, non élucidées, touchant pour 3 d’entre elles, le monde du jeu et/ou du poker. Trois vues du monde très différentes. L’un flambe, dépense sans compter, ce qui est son droit. Jusque dans une certaine limite, clairement définie par la SBM. L’autre organise, arrange, façonne, esbroufe, fanfaronne, déguise, travestit et revend. Jamais à perte : poker ou vêtement de sport, téléviseurs ou contrats-santé bidons, vélo ou ballon rond… Le troisième exploite les filons mis en place par son père, en tentant de surfer sur les vagues à la mode… le poker par exemple.

Pour être gentil et pour faire simple : l’un fait marcher le commerce de l’autre, pendant que le troisième larron surveille ses 2 futures proies. Il les garde 6 mois dans la société nouvelle, pour leur montrer : 1) ce que le premier n’aurait pas du faire. 2) Ce que le second aurait du faire. 3) Ce qu’ils auraient pu prendre.  Puis il revend le nouveau fonds de commerce au quatrième larron… (l’ancien ayant été acheté à l’1 € symbolique)

Le mécène de l’Essonne peut être ?

Good run !

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