L’article qui suit est encore plus chiant que d’habitude. D’abord, parce qu’il y a moins d’images. Ensuite, parce que je nous auto-critique. Enfin parce qu’il faut être maso pour écrire ou lire la vérité en face et la liker…

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BLOGS, SITES, FACEBOOK & AUTRES

RÉSEAUX SOCIAUX POKER…

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Saurions-nous pratiquer une pause,

un petit arrêt par nous-mêmes

genre auto-stop ?

Mettre les pouces, oui

mais pas pour aller plus loin…

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    W     A     Y         O    F          L     I      F      E    

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De même que certaines automobiles ont substitué à leur fonction première

un certain art de vivre, les réseaux sociaux font de même… Sauf qu’un ordinateur,

cela ne roule pas. Et vous n’y emmènerez pas votre famille, vous vous en éloignerez…

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Nous avons tous désormais le droit d’aimer, de nous faire aimer ou « dézaimer » ou encore le pouvoir de nous faire détester. Voire haïr. Tous ces outils sont à notre disposition et à la portée de tous. Néanmoins, il y a plus de volontaires pour donner des coups (unlikes) que pour prodiguer des encouragements. Ou simplement des commentaires constructifs. Et sincères. Pas le like pratiqué comme on dit « t’es où » par habitude ou soumission. Genre LSPH*, quoi ! Le RSFBP** est encore différent. Il entre dans une sous-catégorie socio-culturelle rare. (Sous-catégorie car le « patient affecté » possède en général 2 FaceBook : un « Fbk normal », l’autre « Fbk Family Business Poker ». Donc une famille poker dans un réseau généraliste. Il y a des clans, des mafias, etc… NB le « patient affecté » peut à terme s’auto-infecter. La primo-infection est dangereuse). Cette sous-catégorie est un taxon à part entière de l’addict généralisé, qui croit avoir découvert une famille en notre commune passion du poker. Surtout on line. Ces taxons, (nom parfait pour les vaches à lait du poker que nous sommes en 2013) est relativement proche d’un syndrome, à mi-chemin entre clan, m.a.f.i.a. et Stockholm. C’est là que le taxinomiste (que je ne suis pas d’ailleurs, intervient). Après avoir classifié ce sous-genre, j’ai envie de lui donner un nom. Le taxolm, entre taxon et Stockholm. L’ordinateur est le lieu devant lequel sont retenus les otages, le Net est le cerveau du rapt, le poker (via l’engouement, l’amour qui devient passion), est le complice séduisant. Le poker net, non, pardon. Le Net-poker, cette sous-catégorie facebookienne, est représentée par les fausses amitiés (environ 3000 personnes) qui vont bientôt prévaloir sur vos, (sur nos) vraies familles… CQFD***. Au fait, je rigole un peu, quoique…

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Au mieux, on peut y avoir sa place une fois par semaine, au pire être infecté au point de remplacer son ancienne famille par le miroir aux alouettes de la seconde, pernicieuse et insidieuse à souhaits… Oui, grave mais pas si rare que cela. Au point que certains « chevaliers d’industrie en culotte courte » (dont un bon copain) ont même tenté de reproduire le phénomène social, pour tenter d’en faire des niches commerciales, des micro-business. Créer des NFP**** (ce qui ne peut pas fonctionner, à l’évidence). Pourquoi ? Parce que cela restera toujours un sous-produit, une sous-marque, un ersatz, un produit dérivé, une bad copy, un copycat, une imitation grossière etc… Et surtout, ce qu’il faut savoir, c’est que l’on ne colle un virus que dans un corps sain. qui va réagir.

Pour parler jeun’s, on ne peut pas substituer une mauvaise came à des clients qui prennent de la « blanche ultra pure »… (on parle de neige poudreuse bien sûr).

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Des exemples concrets ? on ne propose pas un Minitel à Bill Gates en 2013. On ne refile pas un rhume pour tuer un ennemi qui se meurt d’une peste bubonique. On ne rend pas addict à la clope un drogué sous perf à l’héroïne. On n’offre pas un free roll à un joueur de hight stake déchu ou ruiné pour le consoler. etc… Voilà pour les imitation FB.

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Quelqu’un a du dire ou écrire quelque chose du genre : FB, c’est aussi le pouvoir de se choisir de nouveaux ennemis. Oui c’est vrai, les « ennemis », soit on en a vite fait le tour, soit ils commencent à vous apprécier ! Un comble…  Cliquez, vous en serez débarrassés. Et choisissez-en de plus vaillants, de plus solides… A votre taille !

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Certains clients, amis, potos, vous délikent, vous unlikent, bref ne vous aiment plus (na). Pourquoi ? Parce que vous pouvez leur rappeler de mauvais souvenirs, ou vous leur tenez tête, ou vous les avez mouché un jour vertement. Ou encore, parce que vous pouvez dire des choses qui les froissent, vous les gênez etc…Ceux là appartiennent, en général, à la sous-catégorie des seigneurs déchus et/ou des faux leaders d’opinion : je m’explique. Certains passionnés de réseaux sociaux utilisent ce media comme moyen de communication pour communiquer avec … eux-même. Si si, avec leur égo. Un RSFBP est un outil de propagande destiné à  faire aimer sa petite image dans le poker. (cela est aussi valable pour le golf, le tennis, le crochet?). Un excellent outil de développement personnel ou d’auto promotion de son JE. Mais, car il y a toujours un mais, l’outil ne reste bon que si l’on tient tête aux critiques, que si l’on gagne les bras de fer rhétoriques ou bien que s’il n’y a jamais contestation. Le baromètre de tendance est le like. (également le nombre d’amis). Une étude 2013 prouve que le comble de l’auto-satisfaction consiste, quand on a dépassé les 2500 « amis », à faire le tri. Arme suprême pour démontrer qui est le chef. S’en suit une nouvelle cour effrénée pour redevenir « l’ami » de l’icône en papier… Le baromètre fonctionne bien mais doit compter uniquement des likers actifs. Pas de faux likers achetés sur « SOS pas d’amis » ou de likers amoureux de votre image… Il faut donc une certaine honneteté intellectuelle et une grande lucidité…Mais l’ont-ils jamais eue ?

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Glossaire des acronymes ci-dessous :

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* LSPH. Like Social Par Habitude

** RSFBP. Réseau Social Family Business Poker

*** CQFD. Ce Qu’il Fallait Démontrer, Deviner, Distinguer etc…

**** NFB. Nouveau Facebook Poker